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importantes, ayant provoqué une diminution de 25 % du PIB.

pon et réalise l'invasion de la Mandchourie.
L'impact et les suites de la guerre (1943-1945)[modifier | modifier le code]
L'URSS supporta l'essentiel de l'effort de guerre sur le théâtre d'opérations européen jusqu'à ce que les Alliés ouvrent un second front en Europe (deux ans après la demande de Staline) avec le débarquement en Sicile, en 1943, et en Normandie en 1944. À la fin de la guerre, on estime qu'environ 20 millions et demi de Soviétiques y avaient perdu la vie, parmi lesquels 12 millions de civils, mais pas nécessairement au front: ce chiffre comprend les nombreux prisonniers de l'Opération Barbarossa qui périrent soit dans les camps allemands de malnutrition et maladie, soit au camp du Goulag après leur délivrance (car la reddition étant interdite au soldat soviétique, ils étaient considérés comme coupables de haute trahison)16. S'ajoutent à cela des destructions matérielles importantes, ayant provoqué une diminution de 25 % du PIB.
Plusieurs millions d'Estoniens, Lettons, Lituaniens, Polonais, Roumains, Ukrainiens occidentaux, Géorgiens, Tchétchènes et autres minorités ethniques furent déportés dans les camps de Sibérie, ou dans des zones reculées pour limiter leurs contacts avec l'Ouest. Plusieurs centaines de milliers de prisonniers de guerre allemands (mais aussi italiens, espagnols et français) subirent le même sort et ne furent jamais libérés.
Pendant et après la guerre, les négociations entre les Alliés aboutirent à la mise en place de deux zones d'influence, suivant les accords de Yalta et de Potsdam.
L'Union soviétique mit en place des régimes dits de « démocraties populaires » dans les pays d'Europe centrale et orientale (y compris dans la partie de l'Allemagne sous son contrôle), dans lesquels elle implanta des gouvernements qui lui étaient dévoués. La ligne frontière séparant cet ensemble de pays de l'Europe occidentale alliés aux États-Unis, fut nommée « Rideau de fer », qui constitue un des éléments à l'origine de la Guerre froide.
L'après-guerre et la Guerre froide (1945-1989)[modifier | modifier le code]
La fin de la période stalinienne (1945-1953)[modifier | modifier le code]
Depuis 1945 et quasiment jusqu'à sa dislocation, l'Union soviétique est opposée aux États-Unis dans la « Guerre froide », chacun des protagonistes essayant d'augmenter sa sphère d'influence au détriment de l'autre, et souvent des pays concernés.
L'URSS avait réuni, dans tout l'Est de l'Europe, un ensemble de pays satellites (République socialiste tchécoslovaque, République démocratique allemande, République populaire de Hongrie, République populaire de Pologne, République populaire de Roumanie, République populaire de Bulgarie, République populaire d'Albanie). Ces pays étaient regroupés au sein du Pacte de Varsovie à partir de 1955. Les États-Unis avaient formé, avec l'Europe de l’Ouest et le Canada, l'OTAN en 1947.
Dès 1943, Staline fonde l' Institut Kourtchatov de recherches nucléaires, suivi de la création entre 1945 et 1948 du complexe nucléaire Maïak, puis de la création en 1946 de l'Institut panrusse de recherche scientifique en physique expérimentale. L'essor de l'industrie nucléaire soviétique permet ainsi à l'URSS de faire son premier essai nucléaire en 1949.
Hors d'Europe, l'Union soviétique et les États-Unis s'opposaient, souvent par « mouvements de libération » interposés, dans diverses parties du monde, notamment en Amérique du Sud et en Afrique.
La succession de Staline (1953-1964)[modifier | modifier le code]

pon et réalise l'invasion de la Mandchourie.
L'impact et les suites de la guerre (1943-1945)[modifier | modifier le code]
L'URSS supporta l'essentiel de l'effort de guerre sur le théâtre d'opérations européen jusqu'à ce que les Alliés ouvrent un second front en Europe (deux ans après la demande de Staline) avec le débarquement en Sicile, en 1943, et en Normandie en 1944. À la fin de la guerre, on estime qu'environ 20 millions et demi de Soviétiques y avaient perdu la vie, parmi lesquels 12 millions de civils, mais pas nécessairement au front: ce chiffre comprend les nombreux prisonniers de l'Opération Barbarossa qui périrent soit dans les camps allemands de malnutrition et maladie, soit au camp du Goulag après leur délivrance (car la reddition étant interdite au soldat soviétique, ils étaient considérés comme coupables de haute trahison)16. S'ajoutent à cela des destructions matérielles importantes, ayant provoqué une diminution de 25 % du PIB.
Plusieurs millions d'Estoniens, Lettons, Lituaniens, Polonais, Roumains, Ukrainiens occidentaux, Géorgiens, Tchétchènes et autres minorités ethniques furent déportés dans les camps de Sibérie, ou dans des zones reculées pour limiter leurs contacts avec l'Ouest. Plusieurs centaines de milliers de prisonniers de guerre allemands (mais aussi italiens, espagnols et français) subirent le même sort et ne furent jamais libérés.
Pendant et après la guerre, les négociations entre les Alliés aboutirent à la mise en place de deux zones d'influence, suivant les accords de Yalta et de Potsdam.
L'Union soviétique mit en place des régimes dits de « démocraties populaires » dans les pays d'Europe centrale et orientale (y compris dans la partie de l'Allemagne sous son contrôle), dans lesquels elle implanta des gouvernements qui lui étaient dévoués. La ligne frontière séparant cet ensemble de pays de l'Europe occidentale alliés aux États-Unis, fut nommée « Rideau de fer », qui constitue un des éléments à l'origine de la Guerre froide.
L'après-guerre et la Guerre froide (1945-1989)[modifier | modifier le code]
La fin de la période stalinienne (1945-1953)[modifier | modifier le code]
Depuis 1945 et quasiment jusqu'à sa dislocation, l'Union soviétique est opposée aux États-Unis dans la « Guerre froide », chacun des protagonistes essayant d'augmenter sa sphère d'influence au détriment de l'autre, et souvent des pays concernés.
L'URSS avait réuni, dans tout l'Est de l'Europe, un ensemble de pays satellites (République socialiste tchécoslovaque, République démocratique allemande, République populaire de Hongrie, République populaire de Pologne, République populaire de Roumanie, République populaire de Bulgarie, République populaire d'Albanie). Ces pays étaient regroupés au sein du Pacte de Varsovie à partir de 1955. Les États-Unis avaient formé, avec l'Europe de l’Ouest et le Canada, l'OTAN en 1947.
Dès 1943, Staline fonde l' Institut Kourtchatov de recherches nucléaires, suivi de la création entre 1945 et 1948 du complexe nucléaire Maïak, puis de la création en 1946 de l'Institut panrusse de recherche scientifique en physique expérimentale. L'essor de l'industrie nucléaire soviétique permet ainsi à l'URSS de faire son premier essai nucléaire en 1949.
Hors d'Europe, l'Union soviétique et les États-Unis s'opposaient, souvent par « mouvements de libération » interposés, dans diverses parties du monde, notamment en Amérique du Sud et en Afrique.
La succession de Staline (1953-1964)[modifier | modifier le code]

 
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